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Un fils demande à son père ...

 


 


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KoLanta Weather's
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6 mai 2009 3 06 /05 /mai /2009 16:35

Pour la reprise des randonnées VTT de cette année, nous avons jeté notre dévolu Christian et moi-même, sur les 50 Kms du Circuit Rohan d’EPFIG. Si Christian connaissez ce parcours pour y avoir déjà roulé lors d’une édition précédente, ce fut pour moi par contre une totale découverte. Rejoins au moment du départ par David , vous savez le compagnon de voyage dont nous avons fait la connaissance lors du dernier Schnacker Tour en 2008, et c’est donc à 3 que nous sommes partie sous le soleil pour cette rando VTT direction le sommet de l’UNGERSBERG. Tout d'abord, nous affrontons pendant quelques petits kilomètres les chemins viticoles afin de préparer nos petits muscles pour les premières montées de la journée. Cette journée qui finalement ce passera très bien, puisque que le parcours proposé étant dans l’ensemble très roulant et très peu technique,tout ce que nous avons monté, nous l’avons presque aussitôt descendu, ponctuées

de si de la par de très belles vues sur la vallée, ces vraiment parfait pour une reprise. Nous aurons également le droit au ravitaillement habituel, mais ces surtout celui de VILLE qui retiendra notre attention, en effet, tout d’abord nous avons étais accueillis avec des gâteaux du plus bel effet, il suffit de voir les photos pour comprendre, et ensuite, le départ de ce ravitaillement sonnera la plus grosse difficulté en terme de grimpette.  6 Kms de pente, voilà ce qui nous attendu après le ravitallo, se fut long et difficile physiquement et avec un 5,5 km/h de moyenne pour cette portion, c’est avec joie que j’ai accueilli au sommet le dernier des points de ravitaillements avant l’arrivée. S’en est suivi une descente de plusieurs kilomètres nous menant directement à la fin de notre parcours et de notre excursion de VTT.

 

 

Merci aux organisateurs et aux bénévoles pour cette journée.

 

Si d'autres photos que les p’tits gâteaux vous tentent, cliqué .

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23 mars 2009 1 23 /03 /mars /2009 08:30

Ce soir nous sommes invitées par Christian et Michèle sa chère et tendre moitié pour une soirée raclette. Décident de faire dans la bonne action (sacrée Christian, il se prend pour Jésus maintenant ) il décida également d'invitée notre concurrent direct ou allié selon le type d'épreuve, pour comprendre venez voir ici pour le Canoë Trophy 2008, ou pour le Run'n & Bike des Coteaux Fédinois 2008, notre pote Pascal accompagné cela va de soit de sa délicieuse épouse Muriel, me demandent d'ailleurs au passage ce qu'elle lui trouve de si attirant . La soirée à commencer comme d'hab par le retard des habitués de la sorte, n'est-ce pas Pascal, arrivant à la fin de l'apéro, mais qui n'oubliera pas de nous chambré suite au mauvais résultat des KoLantés lors du Run'n & Bike de la WANZENAU.







Nous attendant pour la suite 2,4 Kilos de fromage à raclette à qui nous avons la fête sous les yeux ébahis de Pascal, lui prouvant que si nous ne savons pas courir vite cela ne nous empêche pas d'avoir un bon coup de fourchette , d'ailleurs le KoLantés que je suis le battra à plate couture puisqu'il jettera l'éponge après avoir mangé à peine 2 à 3 morceaux de fromage. Le reste du repas se terminera par le café et des bonnes mousses au chocolat et à la noix de coco, un p'tit cigare pour certain , mais surtout pour tout le monde de grande discutions sur tout et rien qui permettront à chacun de découvrir l'univers de l'autre. Notre soirée prendra fin sans avoir oublié de se mettre un petit peu la pression (pas celle à boire au comptoir , mais l'autre) pour les futures épreuves sportives à venir.

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28 février 2009 6 28 /02 /février /2009 13:04

Décidément, les Run'n & Bikes se suivent et se ressemblent ,  nous avons terminé l'année dernière par celui de Vendenheim et nous commençons cette nouvelle année par celui de la Wantzenau. Pourquoi se ressemble-t-il allez-vous me demander ? Et bien tout simplement comme celui de Vendenheim, il a fait très froid, le terrain à était extrêmement boueux à cause du dégel, et de la pluie qui c'est abattu sur la région durant les 48h précédentes l'épreuve sportive, et pour finir, nous avons choisi pour une raison de sécurité mon super VTT rose fluo en lieu et place du vert pomme de Christian qui nous avez tant posé de problème lors de la course de Vendenheim, et mal nous en a pris, car finalement il tombera lui aussi en panne au beau milieu de l'épreuve, la vis du pédalier s'étant desserrer à peine les premiers kilomètres parcourus. Mais tout d'abord, la revanche sur l'équipe des « Loulous » n'aura pas lieu (voir l'article concernant le Run'n & Bike des Coteaux Fédinois 2008), en effet Pascal s'étant blessé durant l'inter saison ne serra donc pas présent pour cette course, nous lui souhaitons comme même un très bon rétablissement. Peu préparer pour ce Run'n & Bike pour des raisons professionnelles et familiales, nous décidons de participer comme même malgré donc un manque évident d'entrainement,  et c'est donc dans les conditions climatiques citer ci-dessus que Christian attaque seul le premier kilomètre de course alors que moi je l'attends au parc avec le VTT pour le départ en duo  de cette épreuve qui cette année c'est prolongé de 6 kms par rapport à l'année dernière, se sera donc 27 kms de course à effectuer. Le temps de prendre quelques photos du départ avant que Christian n'arrive de son kilomètre et nous voilà partie pour la première des deux boucles de chacune de 13 kms, départ moyen plutôt en fin de classement de notre duo, mais les premiers kilomètres se font presque en groupe jusqu'au moment ou nous arrivons au premier passage boueux du parcours, c'est une horreur, la boue s'infiltre parcours, a chaque coup de pédale le VTT glisse et se met de travers quant ce n'est pas la boue en motte qui bloque les roues de notre monture nous empêchant de pouvoir avancer normalement. En définitive, celui qui est en VTT va moins vite que celui qui court, un comble comme même, du coup les relais sont rallongés le temps que le Vététiste rattrape le coureur. C'est lors d'un de ces relais que Christian m'annonce la mauvaise nouvelle, la pédale du VTT se fait la malle, la vis du pédalier s'est desserrée, et bien évidemment nous ne promenons pas avec ce type de matériel pour pouvoir réparé. Il ne reste plus qu'une solution, resserrer cette vis à la main tous les kilomètres, et ce, jusqu'à l'arrivée, c'est-à-dire dans quelques 18 kilomètres a peu prêt. Nous terminerons la distance dans c'est conditions avec encore en prime mon appareils photo numérique qui lui aussi tombera en panne, donc plus de photo durant la course et encore moins de nous à l'arrivée toute crottée que nous étions, dommage, elles auraient était surement très réussies. Nous finirons finalement 120e avec un temps de 2h22mn et 11s très heureux tout de même de l'avoir fait, mêmes si cela à était très dur pour nous, manque d'entrainement quand tu nous tiens.


Merci au Triathlon Club de la Wantzenau pour l'organisation de cette épreuve.


Leur Site :


Pour les quelques photos du pédalier qui se dévisse .
ben... bricoler là :

La 120éme place, visible ici:
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20 décembre 2008 6 20 /12 /décembre /2008 16:05
               Cette année à nouveau nous voici réunis pour le téléthon 2008 au Run'n & Bike des Coteaux Fédinois, un classique nous concernant puisqu'il s'agit de notre troisième participation. Toutefois cette année il y a eux quelques changements par rapport aux années précédentes, tout d'abord le sponsor, de Décathlon nous passons à Go Sport et de 5€ d'inscription nous passons à 7€, bizarre, c'est surement dû à une l'inflation galopante, mais bon c'est pour le Téléthon, donc nous n'allons rien dire. Le deuxième et pas des moindres changements, le VTT, de la couleur rose fluo de mon vélo, nous passons à une couleur moins gay, pardon, moins gai, le vert pomme flanchant du VTT à Christian, et mal nous en a pris, mais la raison vous la comprendrez plus tard. Et la dernière nouveauté, C'est la présence de Pascal, vous savez le troisième larron du Canoë-Trophy, "Salut ça va, je te rappelle que lors de notre dernier raid j'étais loin devant pendant l'épreuve du VTT", cela fait plaisir comme entrée en matière alors que cela fait 7 mois que je ne l'avais pas vue. C'est lui aussi qui pense qu'une équipe soudée c'est quand lui il est loin devant (voir très, très loin) et ces 2 autres coéquipiers forcément loin (voir très, très loin) derrière, ben..., il nous à fait la surprise de monter une équipe sous le nom « Les Loulous » accompagner pour l'occasion de Patrick pour cette épreuve qui soutient je le rappelle pour ce qui dorment au fond de la classe, le Téléthon. Comme je l'écris chaque année le parcours et extrêmement boueux, encore plus particulièrement cette année puisqu'il à était modifié à la dernière minute pour cause de chemin impraticable, la distance totale de 17 kms environs et restés inchangés, et il s'agit toujours de faire 3 boucles du parcours pour parvenir à cette distance. Après un déclarage en règle de guerre de Pascal quant à nos capacités à terminer cette épreuve avant eux, le départ et donné et nous nous élançons tous gaiement sur la piste. Je suis le premier à courir et de suite « les Loulous » prennent de l'avance, premier relais avec Christian et j'enfourche à mon tour le VTT et presque aussitôt, après à peine la moitié du 1er tour effectué, la chaine bloque, il y a trop de boue dans le dérailleur et celui-ci à juste titre déraille la chaine du pédalier. Je saute du vélo en marche, fais sauter les gants, nettoie tant bien que mal le dérailleur, je remonte sur ma monture et m'aperçois que Christian ne sait pas aperçue du problème et je le vois au loin remonter comme une balle sur nos adversaires du jour.


À peine 200 mètres de parcours et de nouveau le même problème, je tente en désespoir de cause de passer des vitesses, peu être que... mais non, rien n'y fait, j'suis dépité, il ne reste pratiquement plus personnes dernières nous et je ne vois plus Christian à l'horizon. Tant pis, je descends du VTT et commence à courir en le poussant jusqu'à ce que Christian s'aperçoive enfin de mon absence et reviens presque en sens inverse pour me chercher, croyais moi, pousser un vélo dans un chemin de terre boueux, c'est un plaisir dont je me serais bien passé. Après une toute petite séance de mécanique, Christian repart sur le VTT et nous tentons de rattraper le temps perdu. Malheureusement le mal étant fait, nous ne parviendrons plus à rattraper les « loulous », après encore quelques petits soucis avec le dérailleur, se sera à peine 1 ou 2 places de gagner au bout de la course que nous finirons finalement presque avant dernier. De bien entendu Pascal nous chantera ça gloire à la victoire telle un coq chantant son cocorico à l'aube, et comme un tel affront ne peut rester sans réponse, je lui ai donc proposé la revanche au Run'n & Bike de la WANTZENAU du 22 février 2009. Et c'est quelques jours plus tard en recevant les résultats de la course par mail à la maison que le chant du coq fus encore plus dur à entendre résonner dans la tête , puisqu'au final seulement 1 minute
37 secondes et 3 places de classement séparent « les loulous » au « KoLantais », alors je vous invite tous à lire le prochain article concernant le Run'n « La Revanche » Bike de la Wantzenau, et en attend
ant si cela vous tente, j'ai des bonnes recettes de cuisine pour le coq au vin blanc.
                                                                                                                 
Merci à Christophe pour les photos prises lors de cette après-midi, visible ici.

Quant au résultat, pour voir notre 32ème place,dérailler
là.

Pour le Site des Coteaux Fédinois .
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8 octobre 2008 3 08 /10 /octobre /2008 19:37
                 Il fait à peine 8° quand nous arrivons ce dimanche matin à GROSBLIESDERDORF lieu de notre nouveau raid à Christian et moi-même, en clair nous nous gelons les cacahuètes. Le programme de cette journée et fort simple, nous allons commencer par 7,5 kms de course à pied, ensuite nous enfourchons nos fiers destriers (VTT) pour 28 kms de ballade, pour finir à la dernière épreuve de la journée, notre sport favori, le canoë, et cela, sur 8 kms. Première constatation, c’est la présence d’un vent glacial au moment de la dépose des VTT au départ de ce parcours, ensuite nous faisons demi-tour pour déposer la voiture à l’arrivée du raid et nous prenons un autobus pour nous rentre cette fois-ci au départ du raid, j’espère que vous avez bien suivi la marche que nous même avons du suivre, car je ne la répéterai pas pour les élèves du fond de la classe à côté du radiateur. 11 h 30 c’est l’heure du départ de notre raid, départ en masse des 498 personnes qui forment les 249 équipes inscrites pour cette journée d’épreuves, et cela commence dur, après à peine 1 km de course à pied voici déjà le premier bouchon quand nous quittons le large macadam de la ville pour les étroits chemins terreux de la forêt, ces aussi la première mauvaise impression me concernant, j’ai chaud, très chaud, je commence à me déshabiller et fait tomber mon coupe-vent. C’est vrai qu’au moment de prendre l’autobus pour le départ la température était largement plus fraiche que maintenant que le vent et tombé, je suis Christian de très prés, d’un seul coup nous nous trouvons devant un mur, une montée d’un autre monde, elle est pentu et en plus très longue. Au milieu de cette montée je lâche et commence à marcher comme la plus part des autres participants, c’est vraiment hard, et le reste du parcours est bien vallonnée, et ce jusqu'à l’arrivée qui est en faite le départ du parcours VTT. Là, mal organiser nous perdons à temps fou à nous mettre en condition pour partir rapidement, de précieuses secondes presque des minutes s’écoulent avant que nous décollions enfin, direction le départ du canoë dans 28 kms. Cela fait à peine 5 kms que nous roulons à bonne allure qu’un très mauvais pressentiment ce précise plus que très rapidement, je viens de crever de l’arrière, et merde, nous nous arrêtons presque en marche et commençons la réparation, plutôt le changement de la chambre à air incriminer. Des grappes de concurrents nous passent alors que nous avons genoux à terre, la rage au ventre nous repartons de plus belle, doublant des que nous le pouvons, à gauche, à droite, au milieu, au-dessus et même en dessous, bon d’accord, là j’exagère un petit peu. Les chemins ont un dénivelé très important et nous y laissons des forces, et cela ce vois au moment ou nous passons à coter d’un arrêt ravitaillement rempli de concurrents qui recharge leur batterie, nous nous y arrêtons pas et profitons pour redoubler des équipes qui étaient dernières nous avant mes malheurs. En doublant un concurrent je me fais envoyer faire un petit tour sur le bas coter, quant à Christian, il a envoyait involontairement un vététiste prendre un bain de boue dans une belle flaque. Nous voilà arrivés au départ du canoë, sans être mécontent d’en avoir fini tellement le parcours à était rude et nous à couter beaucoup de force. Nous récupérons rapidement un canoë-kayak et nous nous lançons à notre tour dans l’eau, et de suite en embarquant je mes un pied dans l’eau, génial, et en plus elle est gelée ce qui ne gâche rien au plaisir. Le pire nous attend, d’une part le vent vient de se lever, et d’autre part les 8 kms nous allons les faires à contre-courant, à peine nous arrêtons de pagayer que le canoë fait demi-tour tout seul, l’horreur. Après quelques kilomètres nous arrivons au passage d’un petit gué que nous traversons sans problème, si ce n’est que Christian placé à l’avant du canoë se ramasse une lame de flotte qui le congèle sur place, naviguer avec un iceberg à bord c'est franchement moins facile. Après il ne nous reste plus qu’a pagayé jusqu'à l’arrivée finale, pagayer, pagayer, pagayer, et encore pagayer, c’était long Christian plus d’une fois à laisser tomber sa rame pour se reposer tellement cela tirer sur les épaules. Enfin le petit ponton de l’arrivée et devant nous, Christian sort du canoë-kayak et tombe aussi sec si je puis dire pour quelqu’un d’aussi mouillé à genoux. Ca y est, il se met à prier me dis je, ce n’est pas le moment, en faite non, l’eau froide la tellement glacifier qu’il est incapable de faire le moindre mouvement. Finalement, nous montons tant bien que mal notre navire de course sur la berge et je tire Christian jusqu'à l’arrivée finale de ce raid que nous avons effectué en 3 h 57 pour une 111 place sur 249, pas mal compte tenu du temps perdu en course.

Pour le résultat et le classement, canoter par là  

Pour le site du Raid Sarre-Moselle, ben... c'est par là 

 

Pour le reste des Photos, cliquationner sur la ch'tite photo 

 

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9 juin 2008 1 09 /06 /juin /2008 17:22

1ère Journée :

Après 1 an de passé nous voilà de retour au lac de Bouzey pour la 2e édition du raid Olima Avière, après l'échec personnel de l'année dernière, voir ici, je me suis préparés différemment pour notre premier Raid sur 2 jours ou prés de 85 kms ont étaient parcourues. Tout d'abord la monture, c'est-à-dire le VTT, un vrai de vrai cette fois et pas une vague ressemblance comme l'année précédente à quelque chose qui roule, ça, ce n’est que le premier effet Kiss-Cool, quant au deuxième, il s'agit de Christian, "Pédale ","Arrête de changer les rapports », «Tu moulines trop, etc.", c'est ça le 2e effet Kiss-Cool et ça motive. Tout à commencé samedi, arriver sur place vers 12 h 30 sous une belle pluie, nous prenons rapidement nos quartiers dans le petit chalet ou aura lieu le couchage et surtout le départ du Raid.  Les concurrents sont scindés en 2 groupes, le notre à commencé par 30 kms de VTT, suivies de 5 km de canoë-kayak, et pour finir de 12 kms de course à pied sans oublier évidement la séance du tir à l'arc cher  aux KoLantés que nous sommes. 15 h le départ en masse est donné, tout les vététistes en même temps dans un couloir pouvant à peine accueillir 3 VTT côte à côte, j'vous raconte pas la galère pour essayer d'avancer sans tomber ni faire chuter quelqu'un, Christian prend les rênes en main et pédale comme un dément pour nous extirper du groupe, à peine 1 kms de parcourue que nous devons mettre pied à terre pour contourner un obstacle, des arbres tomber surement la veille lors de la tempête, quant à  l'état de la piste, boueuse à souhait, je sens que l’on va rigoler. Nous attaquons rapidement les montées, un trou et creusé avec les autres participants, nous devons être parmi le 1er quart, le pneu arrière adhère à merveille, mais je monte comme même difficilement ces côtes et fini par me faire doubler plusieurs fois, pourtant je suis à fond et le terrain extrêmement glissant rend la progression très physique. Montée, descente très raide, partie plus ou moins plate ou je rattrape des concurrents, les kilomètres défilent jusqu'au moment d'une descente ou Christian passe par dessus le guidon, se relève sans bobo pour lui, mais pas pour le VTT, ça sera plus de freins avant, galère à la vue des kms qu'il reste à parcourir, mais amusant pour lui qui aime bien se genre de défit. Encore quelques kms et des obstacles contournés ou grimpés avec le VTT sur le dos, et je m'aperçois que moi aussi j'ai un problème, j'a plus de freins arrière, je ne suis pas tombé pourtant, c'est surement ce que l'on appelle la solidarité dans l'effort de la difficulté, bref avec nos demi-VTT, nous en faisons plus qu’un entier. Après avoir évités quelques pièges et être tombés dans d'autres comme par exemple cette timide flaque d'eau en apparence ou le vélo c'est enfoncé jusqu'aux moyeux de la roue avant, ou un autre, ou en poussant je me suis enfoncé à mon tour jusqu'au genou, nous finissons par arrivé au camp de base pour partir faire les 5kms de canoë-kayak sur le lac de Bouzey ou il faut faire le tour de balises ou son inscrits des lettres qu'il faudra épeler à l'arrivée. A notre grande surprise, nous arrivons à contrôler sans trop de problèmes notre frêle embarcation, et parvenons à faire notre petit tour de bateau sans réel problème mis à part que nous nous sommes comme fait doublé par un autre canoë. Départ du final de cette première journée, la course à pied, c'est parti, je dirais pas à 200 à l'heure, mais presque, nous partons dans les bois, nous poursuivons en longeant le canal et c'est à ce moment que nous apercevons une autre équipe, mixte celle-ci, juste à peu près 400 mètres devant nous, ces alors qu'il me vient l'idée folle d'aller la chercher, mais a notre façon, c'est à dire qui va mollo, va piano, en clair, 10 kms=1hrs de course a peu prés vu l'effort déjà consenti pour le VTT, et cela fais maintenant 20 min que nous courrons soit il nous reste une 40 de min pour les rattraper. C'est parti mon Kiki, le rythme et pris et calculer sur nos adversaires, je surveille le chrono de temps en temps pour voir si notre marche de progression et bonne, et elle l'est, ils sont à notre portée quand un coup d'arrêt se dessine devant nous, une halte pour le Tir à l'arc notre discipline de prédilection. Trois flèches chacun pour viser un puma en affiche, Christian en plante une sur 3 et pour une fois dans l'histoire de KoLanta et depuis que nous faisons les raids ensemble, je sur plante Christian en y mettant 2 flèches sur 3, nous gagnons tous les deux dans l’opération des minutes de bonus sur le temps et a moi le totem qui me permettra d'êtres intouchables au prochain conseil. Nous repartons pour le reste du périple alors que notre équipe mixte ne nous à pas attendu, et ces seul que nous terminons cette dernière épreuve de la journée en 4h06 min, ce qui permettra de terminer en 22e position cette première partie du raid Olima Avière. À peine arrivé nous filons directement prendre une petite douche, réparations des VTT pour le freinage, ensuite repas pris en commun avec les autres participants, nous en profitons pour faire la connaissance des organisateurs du raid, petites discussions en écoutant le groupe de musique, il est déjà 23 h et le briefing pour la journée du lendemain est à 7h30, donc direction nos lits pour un repos bien mérité.

Pour naviguer en canoë sur le site c'est


Pour le réveil et la suite de l'aventure suivez ce lien



Pour toutes les photos cliquées

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8 juin 2008 7 08 /06 /juin /2008 17:52

2ème Journée :


6H40, le réveil sonne et les yeux ont du mal à s’ouvrir, direction en vitesse le pt’it dej avant le briefing de 7 h 30 et le départ prévu pour 8h, rapidement avalé, nous remontons dans nos chambres faire nos valises et nous nous préparons pour cette nouvelle journée d’exploits. Cette fois-ci le départ ne sera pas scindé en 2 groupes comme hier,  alors nous décidons de bien nous placer dans le peloton histoire de ne pas trop être retenue par des concurrents plus lents que nous, et c’est une bonne idée que nous avons eux, car rapidement nous nous détachons du reste du groupe et partons avec quelques autres Vététistes pour les 30 kms à parcourir. Ils nous ont concocté un parcours plus technique qu'hier, alors Christian décide de rester derrière moi et de suivre mon rythme plus lent que le sien.  La boue est toujours omni présente tout le long du parcours, il est moins roulant qu’hier, mais effectivement plus technique avec des trajectoires à prendre en dévers de pente ou des descentes plus raides et longues, cette fois si des faux plats caillouteux font leurs apparitions, ils rendent difficile est usant le parcours, il y aura aussi beaucoup de poussé de VTT, car les pentes sont beaucoup trop raides pour que cela vaille la peine d’essayer de les franchir. Bien que mieux parties qu’hier la même mésaventure nous arrive, des problèmes en montée qui permettent à nos adversaires de nous doublés, ou pires de nous entrainer dans leurs petites chutes lors de passage difficile. Les 30 kms seront finalement effectuées en 2h20mns et c’est à la vue des VTT présents au moment de notre arrivée que nous nous apercevons que nous sommes dans le premier tiers des participants qui  repartent pour la toute dernière épreuve de ces 2 jours, la course d’orientation avec recherche de 11 balises. Muni d’une carte de topographie nous arrivons rapidement dans la forêt, départ réel de la partie orientation et recherche des balises, on nous explique rapidement comme cela fonctionne et nous partons pour chercher est trouver la 1re balise, évidement facilement repérer de loin. Nous décidons de nous attaquez à une autre qui se trouvera d’après la lecture que nous avons de la carte droit devant nous, il nous faut juste couper à travers bois pour éviter les détours inutiles. De bien entendu nous nous perdons et cherchons en vain, c’est alors qu’apparaît un autre duo qui la recherche aussi et qui est aussi perdu que nous, Eloïse et Sylvain du Team les Niaqueux. Nous communiquons nos renseignements et décidons de former un quatuor de prospection, nous cherchons, nous cherchons et tombons non pas sur la balise, mais sur un autre tandem qui arrive vers nous en courent, lui aussi à la recherche de la balise perdue, les Globes Trotters en la personne de Laurent et Michel. Rediscutions, remise à plat de la topographie qui nous fait défaut et comme l’union fait la force nous repartons tous les six directions l’au-delà et plus encore. Après quelques très longues minutes de jardinages hors parcours, nous décidons d’un commun accord de repartir depuis le début pour tenter de retrouver cette seconde balise toujours aussi perdue, c’est alors qu’éparpillé dans la nature nous entendons des Cries de joie de nos compagnons qui ont réussi l’exploit de tomber presque par hasard sur l’objet tant recherché. Nous faisons un énième recadrage sur carte et partons pour la 3e balise à trouver, mais visiblement Laurent d’abord et surtout Sylvain par la suite comprennent mieux que nous la carte et nous même tous ensemble de la 3e à la 9e balise sans encombre, mais en évitant de quitter les chemins principaux pour éviter de nous perdre comme au début de l’expédition. Pour la 10e c’est un petit peu plus difficile est nous perdons à nouveau dans les bois, avant de parvenir à la trouver après de longues recherches est mise au point de notre topographie, la 11e et presque une formalité, nous terminons notre parcours en footing direction l’arrivée que nous franchirons tous en même temps à grand hurlement de joie. Finalement, nous avons mis plus de 3h29mns pour toutes les trouver, et nous nous apercevons que l’endroit où nous avons déposé les VTT pour le départ de la C.O est pratiquement désert, ce qui ne présage rien de bon quant au temps mis pour faire l’épreuve. Il est plus de 14 h, alors il

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s’agit de ne pas trop perdre de temps, car nous avons encore de la route à faire pour rentrer chez nous, nous prenons rapidement quelques photos, nous discutons un petit peu et nous partons prendre une bonne douche a fin de nous préparer au mieux pour le voyage retour. Finalement crédités de 9h55mns de temps de course pour toutes les épreuves du raid, nous terminons à notre goût à une bien mauvaise 36es Places et troisième Vétéran à l’arrivée, ce qui nous vaudra une coupe au moment de la remise des prix, mais qui ne reflète vraiment pas la performance de l’équipe sur le week-end.

Merci à Mazar et à tous les autres pour l'organisation de ce raid qui ne doit pas être une mince affaire.

Pour les Résultats tracé votre chemin


Pour les souvenirs Photos veuillez cliquer sur la photo


Pour le site RT02





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22 mai 2008 4 22 /05 /mai /2008 20:04

             La première fois que Christian et moi-même parlions d’effectuer un raid multisports c’est après avoir vue un reportage vidéo sur le Riv’Action  2006 de Nancy, eh bien nous y sommes allé afin de participer à l’édition 2008. Tout commence par le canoë-kayak, un petit tour de l’ilot et nous nous sommes présentés devant les rapides de la mort, première descente sans encombre, mais avec les remous l’eau s’empare de notre frêle embarcation faite de plastique, nous évitons un premier écueil et fonçons droits sur un éléphant de mer, heu … pardon, un concurrent qui vient juste de se retourner devant nous, cela a pour impact de nous envoyer comme le TITANIC l’avait était sur l’iceberg, sur un autre obstacleque nous pouvons éviter et qui ne manque pas de soulever l’avant de notre canoë et de nous faire chavirer à notre tour. Je sors la tête de l’eau moins froide que prévu pour voir 2 autres canoës retournés sur le dos comme le notre, je vois Christian qui est en train de récupérer les pagaies, j’aperçois notre bateau devant moi, je cours, eh oui, j’ai pied, je saute sur le dos de notre paquebot retourné est m’y accroche comme Léonardo DICAPRIO sur sa planche après le naufrage, est descend le reste des rapides de cette façon délaissant ma Kate WINSLET de Christian à son propre sort, celui de nager, ramer si je puis dire avec les pagaies tout seul dans l’eau. Nous sortons le Kayak de l’eau et nous le ramenons au départ, mais avant d’y arriver, je décide bien involontairement de faire tomber ma pagaie dans l’eau, quelques secondes d’hésitations et je saute pour la récupérer et sortir de l’eau avec l’aide de Christian et de sa main tendue pour me permettre de remonter sur la berge. Nous déposons notre embarcation et nous nous arrêtons devant le premier stand de notre parcours, celui du tir à la carabine. Un fusil, des cibles et des plombs, 5 sur 5 pour chacun, nous repartons heureux  pour la course à pied direction les VTT, juste avant d’y être nous passons sur un pont de singe tendu entre les deux rives, nous enfourchons nos vélos et directions le plateau de MALZEVILLE par d’anciens sentiers goudronnés depuis cette année malheureusement. Après quelques kilomètres à vives allures, nous empruntons enfin des chemins de terre grimpants durement qui nous amènent suivie de très prés par des concurrents au 1er ravitaillement de la journée. Quelques gorgées d’eau et des pâtes de fruits avalées, nous laissons nos VTT sur place pour entamer un tour dans la forêt en courant suivi toujours d’aussi prêt par ses concurrents. Nous accélérons le rythme et larguons nos compagnons de route dans les descentes du parcours, il vient également rapidement à notre esprit que tout ce que nous descendons, il faudra bien le remonter. Nous nousarrêtons durant notre périple à un stand de tir à l’arc ou il faut toucher des ballons pour ne pas être pénalisé, évidement nous ratons nos cibles et sommes contraint de devoir attendre 2 minutes et de voir nos concurrents sidurement largués pendant la course prendre la tangente, c’est rageant. Nous terminons nos parcours pédestres en reprenant nos VTT, direction l’arrivée, non sans s’arrêter une nouvelle fois à un autre stand de tir à l’arc ou là encore une fois nous écoperons d’une pénalité de temps, le trajet de retour ce fait le long  des berges sur bitumes ou nous atteignons presque les 30 km/h de moyenne. Nous déposons ou nouvelle fois nos vélo à terre et nous nous dirigeons vers un nouveau stand de tir, mais à la carabine et cette fois-ci pas de fausse note, enfin presque, puisqu’avec 4 cibles atteintes sur 5 pour chacun cela nous vaudra comme même un petit tour de course à pied de pénalité autour du stand. Encore un petit effort et nous voilà à l’arrivée, 2h11mn et une 39ème place sur 108 concurrents, ce fut une très belle journée, tant par le temps ensoleillé, que par les disciplines proposées et l’organisation sans failles des bénévoles de l’association « Courir pour une Légende », une petite douche et un repas de midi offert et nous voilà de nouveau sur la route direction notre chez nous.


Merci aux organisateurs et à tous les bénévoles pour ces 8 éditions du Raid Riv’Action.

Pour les quelques photographies, ce sera là :



Si d’aventure vous êtes tenté par les résultats,  bander l'arc est visée ici :

 

 

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28 avril 2008 1 28 /04 /avril /2008 15:27
Beau, beau, qu’il est beau le soleil ce matin pour cette randonnée VTT, le 3ème SCHNACKER Tour, et je vous parle même pas de la température idéalement parfaite pour ce type de journée. Du trio infernal de la semaine dernière (Randonnée de la Petite suisse), nous passons au quatuor génial avec la venue de Vincent fils de notre « Nanard » à nous, et malgré un VTT de marque SPECIALIZED, nous LAPIERRISTE dans l’âme nous l’accueillons les bras grands ouverts. 65 ou 40 kms de distance, le choix et cornélien, ce sera pour les plus courageux comme Nanard et moi 40 kms (dénivelé de 1000m) et les poltrons, Christian et Vincent choisiront le plus dur, les 65 kms avec un dénivelé de 1951 m, bref pas de quoi fouetté un KoLanté. Dés le départ des potes à Vincent rejoint notre petit groupe, direction les chemins viticoles et les premières hauteurs de la journée, des chemins roulants parsemés de petite montée bien raide, avant de pénétré dans la forêt dans une partie plus technique et évidement plus boueuse, tout ceci accompagnés par de petits panonceaux très sympas et un brin moqueurs sur tout le long du parcours de la randonnée. C’est avec cette bonne mise en jambe que nous arrivons sur une partie plus resserrer, ce qui ne manque pas de créer des bouchons, les même que sur l’autoroute des vacances, quelques arbres en travers du chemin et quelques marches à gravir plus loin qui nous mènent tout droit vers notre 1er ravitaillement, avec un magnifique point de vue panoramique.Après un bon gueuleton nous revigorant, nous repartons de plus belle vers notre destinés, du plat sur chemin caillouteux, des plus grosses montées, quelques parties techniques dans la forêt nous mène rapidement et sans encombre au 2ème ravitaillement, déjà 20 kms de parcourues. Les tables toujours aussi bien garnies, nous nous empiffrons de salami et gruyère avec des carreaux de chocolat, voilà un repas bien diététique, coup de théâtre, alors que nous nous préparons à partir Nanard à crevé, enfin pas lui, mais le pneu avant de son VTT, du coup branle pas de combat, tout le monde s’agite dans tous les sens, Nanard gonfle le string de Christian qui lui-même démonte le derrière de 
Vincent qui était déjà occupé à  vidanger mon VTT, l’horreur absolue sous le regard d’un nouveau convive en la personne de David, LAPIERRISTE bien évidement (n’est-ce pas Vincent). Ca y est la réparation est effectuée, nous pouvons continuer notre route ponctuée par les mêmes difficultés h abituelles maintenant, de montées, descentes, boue, passage technique en un peu plus boueux qu’avant, et nous voilà arriver à la croisée des chemins, comprennes par là, la bifurcation entre les courageux 40 kms et les poltronnes des 65 kms. Petite photo, divorce à l’amiable et promesse de les attendre devant une bonne bière à l’arrivée, nous nous séparons emmenant avec nous dans notre sillage David pour les derniers 10 kms.La boue et plus particulièrement présente sur ces derniers kms et ces avec douceurs que nous pédalons jusqu'à l’arrivée ou bien entendu les poltrons ne sont toujours pas là, décidément il flâne en route les 2 zigotos, tant pis pour eux, sus à la bière et aux grillades auquel David ce joint à nous bien évidement. Après un friand repas voici enfin Vincent qui arrive bizarrement moucheté de terre, un maquillage digne des Tokio Hotel, il nous raconte rapidement entre biére et saucisse blanche la dernière partie de la randonnée que Nanard et moi avons volontairement évitée. Il ce fait tard et l’heure du départ à sonné,
et ces avec chagrins que nous abandonnons Christian à son triste sort puisqu’il n’est pas encore arrivé au moment ou nous levons le camp, c’est promis dans une semaine nous déclencherons le plan ORSEC si il n’a pas donné signe de vie d’ici là. Cette magnifique journée se termine grâce à ce super parcours de randonnée très varié, à l’organisation (toutefois attention la prochaine fois au fléchage pour le parking des voitures, cela nous empêchera peu être de tourner pendant 20 min pour rien), aux balisages précis, aux ravitaillements nombreux et bien fourni, et à l’accueil des organisateurs à tous les stands. À l’année prochaine…

 

Un max de Photos :

Si d'aventure vous êtes tenté par un des parcours l'année prochain, alors venez cliquer ici:

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24 avril 2008 4 24 /04 /avril /2008 17:13
Ca y est, j'ai enfin un VTT digne de ce nom, Christian à décidé de ce racheter un nouveau vélo chez LAPIERRE, le x-control 310, et j'en est donc profiter pour racheter son ancien X-control, et c'est donc tout heureux que nous nous sommes présenté au départ de la 15ème randonnée de la Petite Suisse du côté de WASSELONNE ce dimanche 20 avril 2008. Nous choisissons le parcours de 60kms et de 1551 m de dénivelé et de plus nous sommes accompagnés par Bernard, "Nanard ou Kiki" pour les intimes dont moi  évidement puisqu'il s'agit en faite de mon collègue de travail Vététiste à c'est heures perdues et surtout lui aussi LAPIERRISTE sur un x-control 410. Il fait froid à peine 8° et nous nous emmitouflons dans des couches de vêtements superposées pour ne pas avoir froid au départ, nous décidons de la jouer cool, ne connaissant pas le parcours, il s'agit de ne pas se cramer de suite. Nous empruntons des chemins de vignes et rapidement nous pénétrons dans la forêt, et de suite ça glisse, la pluie de la veille ne nous a pas arranger le terrain. Bien évidement avec 1551 m de dénivelé il fallait s'attendre à grimper et c'est ce que nous faisons de suite et sur plus de 3 kms de suite, autant vous dire que les discussions du départ entre potes ce son rapidement tu, histoire de garder du souffle.1h30 après et à peine 12 kms de parcourues nous arrivons au premier ravitaillement, o.k., nous sommes prévenues, ce ne sera pas du tourisme. Quelques gorgées de boisson avalées, et quelques fruits secs et c'est repartie pour une montée directe, et encore plus longue et plus cassante que la première, c'est dur, mais sympa, alors que nous peinons, un Vététiste du team La BULLE VTT nous double sans problème, s'arrête nous photographie et repart comme si de rien n'était. La montée et interminable et nous emmène sur l'autre versant du col, plateau et 2ème ravitaillement, avec des organisateurs toujours aussi sympas, recollassions et nous repartons sur des chemins devenus de plus en plus boueux et bien entendu en grimpant cela va de soi. Arrive enfin le sommet après des heures de grimpette, 916 m d'altitudes, heureux nous continuons notre chemin et commence enfin la descente tant attendue . Large et à peine pierreuse, nous lâchons les freins et ces full gaz que nus l'attaquons,  20, 30, 40, puis 50 kms/h, le vtt rebondi gentiment sur la route sans ce désunir le moins du monde, ça va vraiment vite et même cela dure un certain temps, évidement trop cours puisque une fois que nous avons arrêté de descendre, recommence aussitôt les montées infernales. 3ème ravitaillement, cela fait maintenant 3 h 30 que nous sommes parties, organisations toujours aussi sympas, bonne humeur et copieuse table varié de nourriture à volonté pour sportifs affamés, un petit glouglou, j'en profite pour remplir mon Camel Back (Réserve d'eau dans le sac à dos), et nous repartons, nous avons déjà fait 35 kms. Les 40 kms sont atteins assez rapidement, mais c'est aussi là que je sens la fatigue s'accumuler dans mes petites cuisses, n'ayant pas comme mes coéquipiers beaucoup parcours de longues distances, je commence à lâcher prise tout doucement, en plus le terrain et toujours aussi boueux et nous pennons sur chaque montée, d'ailleurs nous faisons que cela depuis le début, montée.50 kms, j'suis au presque au point mort, un dernier ravitaillement salvateur permet de me reposer un petit peu, je mange pour reprendre des forces pour les derniers KMS, là ont nous apprend que visiblement il fera plus que 60 kms, même plutôt 65 kms, je blêmi en sachant qu'il me reste encore au moins 15 bornes à faire avant l'arrivée. De suite nous attaquons une montée infernale par son pourcentage et ça boue toujours aussi collante, et le reste des derniers kms sera du même acabit, je pense même à me pendre à un arbre en sachant que j'ai voté les 60 kms alors que les 35 kms me tendaient les bras, en même tant si je l'avais fait, un certain collègue de travail aurait surement vérifié que le nœud de la corde soit bien lier, ce serai dommage que je me rate. Nous terminons notre balade en 5h10mn d'effort par une bière offerte par mon pote Nanard, heureux et harassé par la fatigue en nous promettant de nous retrouver samedi prochain au 3ème SCHNAKER TOUR de ROSHEIM, mais cette fois pour un maximum de 40 kms et pas un de plus, d'ailleurs je conseillerai cette Rando aux habitués, pour les novices comme moi préférer les 35 kms ils y avaient aussi de quoi faire. Nous remercions le CYCLO CLUB de WASSELONNE pour la Randonnée super bien organisé, tant sur le plan humain, le fléchage, que sur le nombre et copieux ravitaillement, merci aussi à tout les participants pour la bonne humeur qui flottait tout le long de la journée.

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